Pour profiter pleinement de son Week-ends entre célibataires à New York Il faut se lever un peu avant le lever du jour pour se rendre au Battery Park au sud de Manhattan. De là on voit New York se réveiller. La brume encore épaisse noit des buildings et la baie toute entière. New York est un port et on entend toujours au lointain une sirène d'un...
Pour profiter pleinement de son Week-ends entre célibataires à New York Il faut se lever un peu avant le lever du jour pour se rendre au Battery Park au sud de Manhattan. De là on voit New York se réveiller. La brume encore épaisse noit des buildings et la baie toute entière. New York est un port et on entend toujours au lointain une sirène d'un des milliers de bateaux qui débarquent chaque jour. Les premiers banlieusards débarquent de Staten Island et envahissent peu à peu le bas de la ville et ses bureaux déserts. New York apparait comme une vieille photo polaroid en cours de développement : la Statue de la liberté émerge du brouillard, les hauteurs de Brookyn Heights, de l'autre côté de l'east river apparaissent, de même que l'imposante silhouette du pont Verrazano, qui relie Staten Island à Brooklyn, à l'entrée de la baie.
New York c'est LA ville idéale pour un week-end célibataires : New York n'est pas une ville mais cinq, dix ou quinze villes côte à côte, et Manhattan, qui en est plusieurs à elle toute seule, n'est qu'une île, reliée à d'autres îles par un réseau étroit de ponts, de tunnels ou de ferries. Seul le Bronx est ancré au continent, séparé de Manhattan par un chenal. Les habitants de ces villes éparpillées restent soudés par un fort sentiment d'identité. Vous constaterez lors de votre voyage entre célibataires Soloways que tout new-yorkais sait ce quêtre new-yorkais veut dire. Tous même les "continentaux" du Bronx, se sentent insulaires, conscients de l'isolement de leurs propres communautés. C'est le métro qui relie tout le monde : dans ses wagons, tout le monde est logé à la même enseigne. Il s'agit toujours d'un sacré voyage que plusieurs millions de new-yorkais font chaque jour, envhissant les soussols ou les passerelles. Le metro est une ville dans la ville. On l'appelait jadis le "El" pour "elevated", car il etait aérien sur ses 380 km de voies.
New York est une ville debout, une ville salut, le refuge des rescapés, la promesse de mille et une possibilités. Les populations chinoises qui ont émmigré au fil des années se sont réfugiées dans le nord de Brodway ouvrant des restaurant sino-cubains (il faut expliquer que les chinois avant d'arriver à NY se sont installés en masse à Cuba puis ont fui Castro comme ils avaient fui Mao pour se retrouver dans la grosse pomme) où les saveurs des caraïbes se dégustent avec des baguettes dans une atmosphère saturée de friture. Non loin de là de l'autre côté de Canal Street, les napolitains de la "little Italy" célèbrent encore tous les ans le 19 septembre le culte de St Janvier, le patron de Naples. Ils font la fête dans le quartier italien "Mulbery street". Une bonne occasion de s'y rendre pour une sortie entre célibataires avec ambiance "la belle et le clochard". A l'est, à Brooklyn, des juifs religieux en redingote et chapeaux noirs voisinent avec des rasta jamaïcains, plus au nord, dans une atmosphère de banlieue tranquille, des familles grecques écoutent la radio grecque de NY en fredonnant les airs du bouzouki dans une odeur de poivrons et de brochettes. Il faut repasser par le queens borow bridge et retourner à Manhattan pour découvrir entre les charcuteries roumaines et les restaurants slaves une ambiance d'Europe centrale. Un peu plus haut, sur la 86ème, dans le coeur de ce qui fût York Ville, la colonie allemande de New York boit de la bière de Munich dans une brasserie où se croquent des bretzells et où les saucisses aux choux sont servis par des garçons en culotte de peau.
Pourtant, si dissemblables soient ces communautés, elles restent unies par le lien très fort que constitue New York. Quand Sinatra chante "I love New York", tous les new-yorkais en font leur sloggan, de la grande bourgeoisie de Park Avenue aux chauffeurs taxi de Harlem, de l'"homo sexuel cuir" de Greenwich village à l'agent de change de Wall Street. Et si les New-yorkais aiment New-York c'est que sans doute dans leur ville, tout peut arriver, tout y est permi, peut être vous en rendrez vous compte lors de votre voyage célibataires. La Tolérance de New York s'applique tant aux marginaux qu'aux minorités ethniques, qu'aux fous créatifs qui peuvent d'un jour à l'autre devenir une star éphémère... Tout est possible. Alors ? Envie de partir entre amis célibataires à New York avec Soloways ? On n'attend que vous !